jeudi 25 novembre 2010

affaire general munene suite

A l'approche de la mascarade électorale, le jeune dictateur hitlérien Hippolyte Kanambe alias Joseph Kabila dirige des attaques frontales contre les officiers congolais d'origine. C'est le tour du Général Faustin Munene, ANCIEN CHEF D'EAT MAJOR DE L'ARMEE NATIONALE SOUS LD KABILA et de sa famille d'en faire les frais. Heureusement, il a réussi à s'échapper...

Plus rien ne va pour le Commandant Hyppo. Après avoir essuyé des jets de pierre dans l'Est, le voici qui se fait lapider en plein Kinshasa par des jeunes patriotes décidés à en découdre à main nue avec ce "carnassier" des temps modernes... Saura-t-il en tirer les conséquences?

Le climat d’insécurité et de peur entretenue par le dictateur rwandais « Joseph Kabila » à l’approche de sa mascarade électorale commence à prendre des allures de barbarie hitlérienne. La chasse aux officiers congolais d’origine, surtout ceux provenant des provinces qui lui sont traditionnellement hostiles, a pris des proportions très inquiétantes.

Tenez, ce mardi 28 septembre aux petites heures du matin, nous avons été contactés par un proche de la famille du Général Faustin Munene. Il a informé notre rédaction de l’incursion des militaires dans la résidence du général Munene la nuit à 3 heures du matin par des hommes de « Kabila ». Peu avant l’arrivée des trois camions de militaires de la DEMIAP armés jusqu’aux dents, le général fut alerté par un coup de téléphone anonyme (un patriote au sein de l’objectif ?) pour lui demander de quitter immédiatement sa maison et disparaître !

Après vérification des faits sur le terrain, nous avons constaté que la situation était plus grave qu’on ne le pensait. Toutes les résidences du général Munene sont prises d’assaut et encerclées : Sa résidence principale de Gombe, sur 31 avenue Flamboyant en face de l’ambassade de l’Angola est entièrement encerclée. Les membres de familles trouvés sur les lieux sont tous arrêtés. Le général Kitenge, chargé du sale boulot par un ordre de mission de la DEMIAP, a débarqué avec trois camions de militaires et a procédé à l’arrestation de tous les militaires de garde à la résidence de Munene. La deuxième résidence de l’infortuné situé sur 3, avenue de la République dans le quartier Macampagne a été aussi visitée par les hommes de « Kabila ». Cette résidence est louée par l’église de Maman Olangi. La garde de la résidence a été arrêtée, tandis que l’église n’a pas été inquiétée dans son fonctionnement normal. Cependant, une équipe de militaires y a été placée en piquet. Un peloton de la Police Militaire a encerclé la résidence de la mère du général Munene à Bandal, sur 8815, Avenue Kasa-Vubu. Quelques membres de sa famille ont également été arrêtés.

Au moment où nous couchons ces lignes, toutes les résidences précitées sont encerclées par les sbires de « Kabila ». Nos antennes au sein de la DEMIAP nous ont confirmé que les membres de l’expédition dirigée par le général Kitenge avaient reçus l’ordre de la « Hiérarchie » d’ouvrir le feu à la moindre résistance. Heureusement, prévenu à temps, le général Munene a pris la poudre d’escampette et l’affrontement planifié n’a pas eu lieu. Et jusqu’en ce moment, aucun membre de la famille ne sait où est parti le général. Les mêmes sources nous informent que dans les heures qui viennent, la fraction des militaires stationnée devant la résidence de l’avenue Flamboyant à Gombe donnera l’assaut pour vérifier si le général Munene y est caché. Dans l’entretemps, des raffles sont organisées dans les milieux des militaires jugés proches de LD Kabila et n’inspirant pas confiance au dictateur rwandais « Joseph Kabila ».

Nous demandons aux responsables de la MONUSCO à Kinshasa et aux ONG humanitaires et de droit de l’homme de se mobiliser pour constater les faits aux adresses indiquées ci-dessus et intervenir pour arrêter ce carnage. Car, ce geste de « Kabila » à la veille de la publication du rapport des massacres que lui et ses frères du Rwanda ont commis sur le sol congolais constitue un pied de nez qui traduit tout son mépris à l’égard de la communauté internationale.

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